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Heinrich
Heinrich, Rudolph Hertz naît à Amburgo, le 22
Février 1857, dans une des plus illustres familles
de la
ville ; le père Gustave, d'origine juive, était
avocat et
homme de culture. Depuis enfant il montre une passion et une propension
extraordinaires pour la construction de petits moyens et de
mécanismes ; il apprend les techniques de travail du
métal et du bois et suit des détails
leçons de
dessin
mécanique. Hertz se servira de cette formation technicien
dans
la déroulement de ses recherches expérimentales.
Terminé le Gymnase, les intérêts
prédominants pour les disciplines technico-scientifiques,
ils le
portent à choisir la Faculté d'études
d'ingénieurs. Déroulé le service
militaire, il
choisit de se dédier complètement à la
recherche
universitaire : entre 1877 et 1878 il passe une année
entière à l'université de Monaco
affinant ses
connaissances mathématiques et en suivant des
cours de
l'institut Technicien, où il entreprend des recherches de
physique expérimentale. 1878 On transfère
à
l'université de Berlin pour compléter sa
formation dans
le prestigieux laboratoire de physique dirigé de Hermann von
Helmholtz, l'adresse duquel de recherche était connue
à
l'époque pour l'étroite combinations entre
recherche
expérimentale et élaboration
théorique. Le naturel
talent et la solide préparation permettent à
Hertz de se
mettre en lumière dans le monde
académique
berlinois; à le remarquer il est le
même von Helmholtz qui ne hésite pas suivre
personnellement
au jeune élève, en stimulant le talent et en
encourageant
la carrière. La carrière de Hertz
procède pour des
étapes très rapides : en 1880 il entre comme
assistant
dans le laboratoire de l'université de Berlin, dans le 1883
le
Ministère de Prusse de la Publique
Instruction induit
à atteindre la libre enseignement à Kiel, avec la
perspective
d'une suivante promotion ; dans la Pâques de 1885 il est
appelé comme professeur ordinaire de Physique au
Polytechnique
de Karlsruhe, où porte à accomplissement ses
recherches
sur les vagues électromagnétiques. À
Karlsruhe il
épouse Elisabeth Doll, fille d'un collègue. Le
second
semestre du 1889 accepte la charge d'ordinaire de Physique à
l'université de Bonne. Dans les ans suivants il obtient des
nombreuses reconnaissances des Académies et des
Instituts
Europeens : en 1888 le Société
Italienne des
Sciences il lui confère la médaille Matteucci, en
1889
l'Académie des Sciences de Paris il lui confère
le prix
La Caze,
et le K. K. Akademie de Vienne le prix Baumgarten ; en 1890
les
Royal Society il lui confère la médaille Rumford.
Les
Académies de Berlin, de Monaco, de Vienne, de Gottinga, de
Rome,
de Turin et de Boulogne, l'élisent à membre
correspondant, et le gouvernement de Prusse lui confère les
ordre de la Couronne. Même après la historique
découverte des vagues
électromagnétiques,
réalisée entre les 1886 et 1888, qui le rendent
celebret
et contes, Hertz reste un homme réservé et
tranquille ;
il refuse même le bureau de Physique théorique
à
l'université de Berlin, pour être libre de pouvoir
continuer son activité intensément et sans
pressions
extérieures. Helmholtz le rappelle ainsi dans la
préface
aux "Principes" : Heinrich Hertz s'est assuré à
travers
ses découvertes une gloire impérissable dans la
science.
Mais son
souvenir ne survivre pas seul à travers le sien
travail : mais pour tous qui le connurent resteront
inoubliables les
aimables qualités du son caractère, sa immuable
modestie,
sa
chaleureux reconnaissance du travail d'autrui, la sincère
reconnaissance pour son enseignant. Pour il était suffisant
actionner pour la vérité, cette
vérité qui
il poursuivait avec chaque force ; jamais dans lui prévalues
bien que minime trace de désire de gloire ou
intéresse personnel. Les amis et les
collègues lui
se rappellent de nature silencieuse et réserve,
rétif
à revendiquer les mérites d'une
découverte ou
d'un'intuition ; j'attente et aigu, il ne épargnait pas
cependant de jugements de désapprobation et de
dédain
vis-à-vis d'études menées
avec
négligence. Frappé d'une incurable
maladie aux os,
déjà dans le novembre du 1892 le sien conditions
deviennent beaucoup de precaries ; cependant , Hertz continue
l'activité didactique universitaire. Vraiment ces
dernières années il se dédie
entièrement
à projet d'une général des ri
fondations de la
mécanique, en donnant de la vie au Prinzipien der Mechanik [
les
Principes du mécanique ] Malgré la maladie, qui
quelquefois le force à ralentir et suspendre les
études,
Hertz réussit à achever l'oeuvre ; les lettres
écrites à des amis témoignent son
intention de
revoir et développer en mode accomplie quelques parties,
seul
provisoires, particulièrement le second livre,
mais avancer
de la maladie le lui empêche : Hertz meurt le premier janvier
de
1894. Roberta
Milani | |